La nécessité
de règles juridique pour organiser les relations des acteurs
économiques
Indispensable pour assurer l'ordre social et
reconnaître les droits des individus.
Les droits
fondamentaux
Comprennent les libertés individuelles,
économiques et sociales
L'ordre public
Lois
impératives qui régissent la vie en société
ensemble des règles
qui régissent la vie en société et qui sont
dictées par l'ordre général.
On ne peut
jamais déroger une règle d'ordre public. (impossible
à modifier)
ex : règles de l'enfance, le
consommateur ne peut même pas la modifier.
Tout les règles de l'État
les salaries en ont plein aussi
Les libertés individuelles, économiques et leur limite
Les libertés individuelles
Droit à
l'intégrité physique.
Ex : Interdit de
blesser, les atteintes physiques...
Pas le droit de vendre une
partie du corps. Le corps humain est hors de commerce. (sauf
cheveux et lait maternelle).
Dérogation : acte
chirurgical sans d'accord, vaccins obligatoires, autopsie
Droit à
l'intégrité morale.
Ex : contre l'atteinte à
la vie privée, liberté d'opinion (religieuse,
syndicale...)
peut être affecté : ex :
écoute téléphonique, pour des soupçons
graves.
Liberté d'opinion affecté par les impôts.
Droit du citoyen français et européen : droit de voter (qui peut se perdus par des condamnent pénales). Droit de circuler librement en Europe.
Protection de ces droits : c'est le pouvoir judiciaire, la justice se prononce lorsqu'il y a une atteinte.
Les libertés économiques et sociales
La liberté du commerce et de l'industrie et l'ordre public économique
La liberté d'entreprise → possibilité de choisir librement son activité
La liberté
contractuelle → liberté de contracter ou de ne pas
contracter
→ liberté de choisir son
cocontractant
→ liberté de déterminer
le contenu du contrat
La liberté
de la concurrence → principe de liberté
→
restrictions → la vente à perte est interdit
(sauf soldes, produit ≈
périmés...)
Concurrence
déloyale : imiter, induire en erreur, contrefaçon
Le monopole (autorisé) seul sur un marché :
ex SNCF a la monopole des lignes, la poste.
Les monopole ne
doit pas avoir l'abus de position dominante. Ex : SNCF monte
ses prix de 50% = abus.
L'entente : concurrence qui se
mettent d'accord. Ex : opérateurs tél qui ne
descendent pas en dessous d'un certain prix.
Le droit de propriété :
« Usus » : droit d'utiliser la chose
« Fructus » : droit de percevoir les fruits de notre bien
« Abusus » : droit de disposer des bien comme on veut
Les libertés de travail et l'ordre public social
droit a travail
liberté syndicale
droit de la grève
liberté dans l'entreprise
Protection des droits : l'organisation judiciaire
Les principes
généreux du système français
Deux
ordres de juridictions :
- administratives : pour les
litiges à l'administration est en cause
- judiciaires :
pour les litiges entre les personnes soumises au droit
privé
répressives (pénales)
civiles
(contrats, droit de la famille)
Le principe du
double degré de juridiction
→ quand on a un litige,
on peut faire appel à une autre juridiction (généralement
quand le pb excède 4'000€)
Le principe de
collégialité des juridictions
toujours 3
magistrats (= juges)
Le principe de
gratuit de la justice
→ on ne paie pas le juge mais les
avocats, frais d'expertise
Le principe
d'indépendance des magistrats
2 types de magistrats
Ceux qui prennent
une décision, les magistrats du siège :
Doivent
être indépendants de l'État, ne doivent pas
subir de pression, ne doivent pas être influencés.
L'État n'intervient pas dans les décisions de
justice.
Ne sont pas responsables de leurs erreurs. Ils
parlent quand même au nom de l'État.
Ceux qui
représentes l'État, les magistrats du parquet (=
ministère public)
L'État, dans des
institutions/juridictions à une représentant. Le
magistrat du parquet parle au nom de l'État, de la
société.
Il a droit de faire appel.
La compétence
des juridictions
Une compétence d'attribution en fonction
de la nature et de l'importance du litige.
Une compétence
territoriale en fonction du lieu du litige
Compétence des juridictions civiles
1ér degré
de juridiction → tribunal de grande instance (au 1 par
dpt)
→ tribunal d'instance (les affaires civiles qui
dont une montant < 10'000€)
→ tribunal
de commerce (affaires entre commerçants)
→ conseil
de prud'hommes (pour tout les litiges employeurs/salariées
nés à l'occasion du travail).
→ ...
2nd degré de juridiction : l'appel devant le court d'appel
La court du
cassation : quand les juridictions ont mal appliquées
les réglés de droit. Il y a qu'une, elle connaît
très peu d'affaires par rapport au 1ér ou 2nd
degré.
Pour quoi ? Parce-que parfois les textes ne
sont pas assez précis pour des cas particuliers, et les
magistrats peuvent mal l’interpréter.
Son
mécanisme : celui qui considère qu'il y a eu
mal interprétation, « pouvoir une cassation ».
La cour qui reçoit un pourvoi a 2 solution : « rejeté »
(si elle considère que ça a bien été
jugée) ou dit que la cour d'appel n'a pas appliqués
la bonne réglé de droit, elle « casse »
l’arrêt de la cour d'appel. Alors elle renvoi devant
une autre cour d'appel (elle ne juge pas).
Compétence de juridictions pénales
L'instruction :
recherche des preuves
Avant d'être jugée, elle
est instruite sert a réunir les preuves.
Le juge
d'instruction décide si l'affaire peut ou non continuer en
fonction de la suffisance de preuves. Il travaille avec la
police.
Le
jugement → tribunal de police
→ tribunal
correctionnel
→ cour d'assises
C'est le code
pénal qui décide de la peine pour les
contraventions.
Quand c'est le juré qui décide
ils ont une fourchette.
Le compétence des juridictions administratif
3 degrés d'administrations :
tribunal administratif
Les principes de
l'action en justice et de la procédure civile
L'action
en justice consiste à saisir la justice pour faire
reconnaître un droit qui est contesté.
L'action en justice
un intérêt à agir
la qualité par agir
la capacité d'agir en justice
La procédure civile est
publique
contradictoire
Jusqu'au
dernier moment on peut apporter des arguments en sa faveur. Les
parti peuvent s'amener des éléments avant le jour
de jugement.
Si le jour de l'audience l'avocat arrive avec une
nouvelle pièce, la procédure contradictoire n'a
pas été respecté. → rejetée
(renvoi)
→ acceptée par l'autre avocat quand
c'est pas un big deal
→ l'autre avocat a
droit a droit à plus de temps pour étudier
la preuve.
à la fois écrite et orale
accusatoire
Les
partis amènent au juge les éléments. Le juge
ne fait pas une recherche complémentaire.
S'il juge
qu'il n'a pas assez d'info il peut quand même nommé
une expertise.
→ un mois pour décider si on veut
faire appel. S'il y a appel l'affaire est en pause et par exemple
l'employeur ne donne pas de sous à l'employé
victime, l'appel est « suspensif ».
Quand
on fait un pourvoi en cassation, il n'est pas suspensif. Et du
coup si l'employé avait gagné des sous nais que la
cour de cassation donne raison à l'employeur, l'employé
doit rendre/redonner le sous.
Les modes du règlement amiables des litiges
Les procédures
judiciaires de règlement des litiges.
La conciliation
La médiation
Quand on décidé de ne pas
régler une affaire en justice devant un magistrat. La
justice nomme un conciliateur ou un médiateur pour prendre
la décision. Souvent pour les mineurs.
Il n'y a pas
d'avocats si on veut pas
les procédures libre de médiation
l'arbitrage
+
adapter un métier des partis. Accords commerciaux. Ça
arrive très souvent en matière commerciale.
+discret
Les sources du droit
Les sources écrit du droit
Les sources nationales
les lois
→
la constitution (supérieur à toutes les autres)
→
les lois ordinaires (texte générale voté par
le parlement (assemblée nationale + le sénat)
→
l'élaboration des lois
les règlements
administratifs
→ les ordonnances
(texte pris au
conseil des ministres puis ratifie par le parlement)
→
les décrets
→ les arrêtés
Un
ministre peut prendre des arrêtés dans son domaine
de compétence.
Un maire peut prendre des arrêtés
municipaux.
Un préfet peut prendre des arrêtés
préfectoraux.
Les sources internationales et communautaires
les traités
Quand
deux ou plus pays décident d'adopter une règle
commune. → on fait un « traité »
qui est en fait un contrat. Ex : Kyoto – Traité
international.
Un traité est « ratifié »
quand des pays se rajoutent.
Accord d’extradition :
entre deux pays, si un criminel se réfugie dans l'autre
pays, il est renvoyé.
Très souvent les traités
ne concerne qu'on point en particulier.
L'union Européenne
La hiérarchie
et la complémentarité des sources de droit.
Chaque
texte ne doit pas être anticonstitutionnel.
Les textes
juridiques n'ont pas tous la même valeur, ils sont
hiérarchise.
Les sources non
écrites du droit.
Les coutumes → règles
connus de tous, applicables ex : la femme mariée a la
droit de porter le nom de son mari.
Les sources indirects du droit.
La jurisprudence : quand on pose un même problème, qu'il se répète pareil => même sanction.
La doctrine
Les contrats : sources d'obligation
Les obligations
Définition
L'obligation
est le lien de droit entre deux personnes, en vertu du quel d'une
d'elle, le créancier, peut exiger de l'autre, le débiteur,
l'exécution d'une prestation, ou le respect d'une
abstention.
Les obligatoire créent un lien de droit
entre deux personnes. Elle peuvent venir ≠
de sources.
Comment classer les obligations ?
D'après leur source
Peut résulter d'un acte juridique ex : on achète une voiture (on recherche les conséquences)
Peut résulter d'un fait juridique ex : on grille un feu rouge
D'après leur objet
Obligation de donner ex : contrat de vente
Obligation de faire ex : obligation de travailler dans une contexte du travail
Obligation de ne pas faire ex : ne pas construire des bâtiments plus grande que le permit.
D'après l'étendre de l'obligation
Obligation de résultat ex : payer le prix
Obligation de moyen
→ faire
tout son possible pour parvenir sans être obligé
d'y parvenir.
Ex : le médecin fait tout pour nous
soigner, l'avocat doit nous défendre.
→ ils ne
peuvent pas s'engager sur le résultat
Les contrats
Définition
Le contrat est une
convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'engagent
envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou
à ne pas faire quelque-chose.
Ceux qui participent au contrat sont les contractants ou les « parties ».
Ceux qui sont en dehors du contrat sont les « tiers ».
Classification des contrats
En fonction des conditions de forme
Contrats consensuels : se forme uniquement par le consent des parties ex : la vente non-écrits.
Contrats solennels : ex :
Contrat
de vente immobilier → il faut passer devant un notaire.
Le
mariage → devant un officier ministériel.
En fonction du contenu
Contrats synallagmatiques : les parties ont des obligations chacun envers l'autre, réciproques. Ex : contrat de vente.
Contrats unilatéraux : contraire une seul a une obligation ex : la donation
Contrats à titre créneaux : chaque partie reçoit un avantage qui est la contre partie de celui qu'elle reçoit. Donnant/donnant.
Contrats à titre gratuit : contraire, contrat sans intérêt.
Contrats commutatifs : quand on connaît d'avance la prestation de chaque partie. Ex : vente : on connaît d'avance le prix.
Contrats aléatoires : contraire au moins une obligation du contrat est laissée au hasard. Ex : l'assurance, elle ne sait pas de combien elle va nous remboursée. La vente viagère.
En fonction du rôle de la volonté des parties
Contrats de gré à gré ou contrats d’adhésion (quand on ne peut rien discuter)
Contrats individuelles (contrat qui n'engage que ceux qui participent à sa formation (ex : contrat d'embauche) ça ne veut pas dire une seule personne) ou contrats collectifs (profile à des gens qui ne l'ont pas signé)
En fonction de la durée du contrat
Contrats à exécution instantanée (tout les obligations se passent dans une temps instantané (ex : prendre un café)) ou contrats à exécution successive (ex : contrats du travail, assurance...).
Contrats à durée déterminée (la date de fin est prévu à l'avance et ne peut pas être rompu pendant main on a le droit de faire des closes (ex : je le fourni pendant 3 ans mais si le prix augmenté tu me paieras plus, ex : le prix de location d’appartement augmenté tous les ans)) ou contrats à durée indéterminée (Tout contrats peut être 'à durée indéterminée. On peut y mettre fin à tout moment en donnant un préavis.
Formation, validité et nullité du contrat
Les conditions de formation et de
validité du contrat
Si les 4 conditions suivants ne sont
pas réunis, le contrat peut être annule :
Consentement (acceptation) sinon on peut
dire qu'il y a un vice de consentement il doit être donné
libre et . On ne peut pas avoir le consentement par la violence.
Souvent les personnes âgées sont victimes du
violences physiologique. Ex : vice de consentement :
l'erreur. AAAA On
se trompe tout seul, on ne nous a pas manipulé. On peut
alors viser l'annulation du contrat. L'erreur doit porter sur un
élément important. Ex : j’achète
une voiture, je la croyais automatique mais en fait … (→
important), je croyais qu'il y avait des lumières du
rétroviseur (→ pas important).
Le dol :
tromperie, volontaire (pour faire un contrat, par ex : vendre
de la contrefaçon). Le dol peut être passif :
mentir par omission.
La lésion : vice de
consentement. (victime d'une injustice) ex : je vends un
terrain constructible que je croyais inconstructible, je l'ai
vendu alors SOx moins cher que sa valeur.
Objet : ce que chaque parti s'est engager à donner, à faire, ou à ne pas faire. Ex ou le contrat n'a pas un objet valable : vente d'un véhicule à moteur à eau, rente d'un voyage dans le temps, sur mais... On peut quand même vendre quelque-chose qui n'existe pas : une maison qui va se construire, les récoltes avant ça n'ont passé. Objet doit respecter la loi : on peut pas embaucher quelque-un pour commettre un délit.
Cause : motivation du contrat. Si
je vends ma voiture : objet = voiture, cause = je dois me
déplacer.
C'est le motif a qui a poussé à
contracter
La capacité
Les parties
doivent avoir le capacité juridique de contracter.
La nullité du contrat non valide
Comment s'exerce l'action en nullité ?
Nullité absolut : tout le monde peut la demander, c'est quand l’intérêt général est en jece. (Même celui qui ne font pas parti des contrat). Prescrit sur 30 ans.
Nullité relative : concerne les partis. Prescrit sur 5 ans (c'est le délai pour intenter une action).
Les Effet de la nullité
Résiliation (=annulation au moment où elle a été prononcée)
Résolution (on revient dans le temps, on annule depuis avant)
L'exécution et la fin des contrat
L'exécution
La force obligatoire
Les conventions
légalement formées tiennent lieu de lois à
ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent pas être révoquées
que de leur consentement mutuel.
Certaines personnes sont soumises à la force obligatoire des conventions
Le contrat signé est irrévocable
Le juge doit faire appliquer le contrat
L'effet relatif du contrat
Le contrat
ne peut nuire ou profiter à ceux qui n'y ont pas été
parties.
Mais certains contrats sont conclus à
l'intention de tiers. Ex : assurance pour les enfants qui
toucheront un capital lors du décès des parents. Il
profile aux enfants mais ce sont les parents qui signent.
L'inexécution du contrat
L'exécution forcée
Inexécution
= un partie ne respecte pas sa part du contrat. L'autre partie
peut demander à un juge de contraindre l'exécution
forcée. Si c'est qu'il ne peut pas payer, on prend ses
biens, et ça va à la vente aux enchères.
Si
le corihat n'était pas de donner, mais de faire : on
peut forcer à faire. On a alors un dédommagement.
La responsabilité
contractuelle
Conditions :
→ une faute
(l'inexécution)
→ une dommage (pas livré
dans les délais...)
→ un lien de
causalité
L'exonération de responsabilité.
(c'est la faute de quelque-un d'autre, or force majeure).
La
mise en œuvre de la responsabilité contractuelle
La résolution des contrats